Le 23 octobre, il est important que le PS renforce ses positions à Bienne et dans le Jura bernois. La crise économique et financière a fait des dégâts auprès de nombreux travailleurs de la région. La cherté actuelle du franc risque d’entraîner des ravages encore plus graves pour notre tissu socio-économie. La catastrophe de Fukushima et les déboires à répétition de la centrale de Mühleberg nous confortent dans la nécessité de sortir du nucléaire – mais une sortie socialement supportable, tenant compte de l’avis de la population de la région. Plus de justice fiscale, une politique de sécurité pragmatique non discriminatoire, un service public fort, un ensignement de qualité, une politique régionale efficace, une agriculture durable de proximité, une politique de la santé solidaire et sociale et une intégration réussie, respectueuse de nos lois et de nos acquis, sont aussi au cœur de nos préoccupations. Les cinq candidat-e-s socialistes de Bienne et du Jura bernois au Conseil national – notre quinté gagnant ! – deux femmes (Michèle Morier-Genoud et Martine Gallaz) et trois hommes (Alain Sermet, Philippe Garbani et Roberto Bernasconi) sont prêts à d’engager en faveur de ces principes. Et avec plus de vingt années passées à la tête de la mairie et des Finances de la ville de Bienne, Hans Stöckli, notre force bilingue, n’a plus besoin de prouver qu’il a la carrure, l’expérience et les compétences nécessaires pour représenter au mieux les intérêts de la région au Conseil des Etats. Le 23 octobre, chaque voix comptera ! Il est essentiel que les citoyennes et les citoyens de la région participent en masse aux élections fédérales – car une grande partie de leur avenir et de celui de leurs enfants se décide sous la coupole. Tels sont les principaux messages que les candidat-e-s socialistes francophones de la région souhaitent faire passer auprès des électrices et des électeurs. Les discours (PDF)
