Krankenkassenprämien 2010 – Primes des assurances-maladie 2010 SP fordert sozialere Finanzierung des Gesundheitswesens – Le PS exige un financement plus social du système de santé

Medienmitteilung vom 01. Oktober 2009

Die heute bekanntgegebenen Krankenkassenprämien sind wieder markant gestiegen. Wieder stehen viele Menschen, insbesondere Familien mit mittleren Einkommen vor der Frage, wie sie diese finanzieren sollen. Die SP fordert seit Langem eine neue Finanzierung des Gesundheitswesens, welche nicht mehr über asoziale Kopfprämien stattfindet. Die Prämienerhöhung im Kanton Bern ist heute deshalb besonders hoch, weil die Krankenkassen jahrelang die Prämien künstlich tief gehalten haben, um möglichst keine Versicherten zu verlieren. Dies führt jetzt zu markanten Prämienerhöhungen mitten in der Krise. Jetzt muss die Finanzierung des Gesundheitswesens dringend geändert werden. Denn alle Studien zeigen: Die Gesundheitskosten in der Schweiz werden die nächsten Jahre weiter steigen – infolge des technologischen Fortschritts im Gesundheitswesen und der Alterung der Gesellschaft. Für die SP muss die Gesundheit der Menschen im Zentrum stehen und nicht die ökonomischen Interessen einzelner Akteure im Gesundheitswesen, wie dies heute häufig der Fall ist

Finanzierung muss sozialer werden

Die steigenden Gesundheitskosten führen zu für viele unbezahlbaren Krankenkassenprämien. So kann es nicht weitergehen! Es braucht eine neue Finanzierung des Gesundheitswesens, welches auf die finanzielle Situation der Versicherten Rücksicht nimmt. Dies bedeutet, mehr Gesundheitskosten müssen über Steuergelder und weniger über Kopfprämien finanziert werden. Die Prämienverbilligungen müssen erhöht werden, damit die Kaufkraft der Familien nicht einbricht.

Organisation und Strukturen müssen effizienter werden

Die SP spricht sich klar dafür aus, dass im Gesundheitswesen falsche ökonomische Anreize, welche zu unnötigen Leistungserbringungen und Mengenausweitungen führen, beseitigt werden. Sie hat sich mehrmals dafür ausgesprochen, dass die Strukturen den heutigen Gegebenheiten angepasst und effizienter werden müssen. So müssen im Kanton Bern die überdurchschnittlich teuren Spitalstrukturen umgebaut werden, ein Hausarztmodell für alle eingeführt werden und Gesundheitszentren die regionale Versorgung sicherstellen.

Die SP hilft beim Kassenwechsel

Viele Versicherte können durch einen Kassenwechsel deutlich Prämien sparen. Insbesondere ein Wechsel zu einem Hausarzt- oder HMO-Modell kann bis zu 25 Prozent Prämien einsparen. Die SP Schweiz hat eine Wegleitung und Musterbriefe für den Kassenwechsel vorbereitet: Diese sind auf www.spschweiz.ch direkt abrufbar. Wegleitung Kassenwechsel PDF
Musterbriefe KVG PDF Communiqué de presse du PS du canton de Berne Berne, le 1er octobre 2009 Primes des assurances-maladie 2010

LE PS EXIGE UN FINANCEMENT PLUS SOCIAL DU SYSTèME DE SANTé

Les primes des caisses-maladie publiées aujourd’hui ont nouveau augmenté de manière marquante. Nous revoici dans cette cruelle situation: de nombreuses personnes, d’innombrables familles revenus moyens, se demandent comment parvenir financer leurs primes. Le PS revendique depuis longtemps un nouveau mode de financement du système de santé non fondé sur les primes par tête, dont l’injustice sociale est criante. Le relèvement des primes dans le canton de Berne est particulièrement élevé aujourd’hui parce que les caisses-maladie ont maintenu les primes un niveau artificiellement bas pendant des années pour éviter de perdre des assurés. Ce qui nous vaut des augmentations de prime marquantes en pleine crise. Il y a urgence : le financement du système de santé doit être modifié sans tarder ! Toutes les études le montrent : les coûts de la santé en Suisse augmenteront encore ces prochaines années – par suite du progrès technologique en matière de santé, mais aussi en raison du vieillissement de la société. Pour le PS, la santé de la population figure au centre des préoccupations, et non les intérêts économiques des différents acteurs du système de santé, comme certains le pensent aujourd’hui.

Le financement doit être plus social

Les coûts de santé en augmentation font que, pour d’innombrables personnes, les primes de l’assurance-maladie sont désormais hors de prix. Cela ne peut pas continuer ! Il faut repenser le financement du système de santé et le définir de manière ce qu’il tienne compte de la situation financière des assurés. Le financement des coûts de santé doit reposer beaucoup plus largement sur les impôts, beaucoup moins sur les primes par tête. Il faut augmenter les rabais sur les primes, le pouvoir d’achat des familles ne doit pas s’effondrer !

Organisation et structures doivent devenir plus efficients

Le PS se prononce clairement pour l’élimination, dans le système de santé, des fausses incitations économiques tendant multiplier les prestations inutiles et gonfler les quantités de soins. Il s’est prononcé maintes fois pour que les structures soient adaptées aux données actuelles et rendues plus efficientes. Les structures hospitalières plus coûteuses que la moyenne du canton de Berne doivent être adaptées, le modèle du médecin de famille introduit pour tous et des centres de soin chargés d’approvisionner la population partout au niveau régional.

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